Je quitte la salle radio où je viens de passer ma première IRM et mon lit file à vive allure dans un dédale de couloirs.
Je ne perçois plus tout ce qui se passe autour de moi, je distingue juste des silhouettes qui s’activent, dans les rares moment où je parviens encore à ouvrir les yeux.
En route pour les urgences
En quittant le hall de l’immeuble, le froid me rappelle soudain que je suis presque nu, je ne porte que mon caleçon et un T-shirt.
Le brancard est collé contre les portes ouvertes du camion des pompiers.
Toujours dehors, je crois qu’on me pose une seconde perfusion.